Dés 10h00 plusieurs personnes ont commencé à se regrouper pour manifester devant le siège de BPCE 50 avenue Mendes France à Paris 13. rejointent par des centaines de collaborateurs qui ont voulus faire entendre à Mr. Pérol leur mécontentement sur leurs conditions de travail ainsi que sur des N.A.O. (Négociations Annuelles Obligatoires), qui n’ont pas abouties sur les deux branches Caisse d’Epargne et Banque Populaires.
A 14h15 la direction a reçu les représentants des délégations syndicales, afin que nous puissions dénoncer à Mr. Pérol de vive voix :
- L’érosion délibérée des effectifs et son poids sur les conditions de travail
- Les multiples pressions imposées aux salariés du groupe et la souffrance au travail qui en découle
- L’absence de considération envers les salariés du groupe et leur travail.
- Le développement de la rémunération aléatoire au détriment du salaire.
- L’amputation continue de notre pouvoir d’achat.
- L’atonie caractérisant le dialogue social dans le groupoe BPCE.
Hélas seule une délégation patronale était au rendez vous, présidée par Mme. Mercier-Galay la DRH groupe,
Monsieur Pérol ayant préféré prudemment et courageusement nous éviter !!!
Devant ce nouveau dénie du dialogue social par notre PDG de BPCE, l’intersyndicale a préférer mettre fin à cette réunion qui ne pouvait déboucher sur rien de concret compte-tenu que nous avions en face de nous les mêmes interlocuteurs que pendant les négociations qui ont abouties sur ….rien.
Toutefois nous avons dénoncer ardemment les agissements des directions de chaque entités du groupe qui ont exercées des pressions directes sur les salariés, leur faisant peur, pour que par n’importe quel moyen ils ne fassent pas grèves !!!
Chez BPCE assurances notamment une société extérieure a été appelée pour remplacer des salariés grévistes (230 personnes au total), ce qui est complétement interdit par la loi.
Le droit de grève est un droit inscrit dans la loi et toute personne ou organisation qui s’y oppose, s’expose à des sanctions auprès des tribunaux.